photo Le Diable Au Corps /// Multicrew Tour : Ixindamix, Shmirlap, Ben 9mm, Nout, Weser

Le Diable Au Corps /// Multicrew Tour : Ixindamix, Shmirlap, Ben 9mm, Nout, Weser

Culte et religion

Dijon 21000

Du 15/02/2025 au 16/02/2025

La Vapeur convie le label culte Le Diable Au Corps et propose une expérience unique réunissant artistes et sound systems pionniers du mouvement free party. Un mix ingénieux de sons old school et modernes pour fusionner les générations. Avec Ixindamix, Shmirlap, Ben 9mm, Nout et Weser.

photo Le Diable Au Corps /// Multicrew Tour : Ixindamix, Shmirlap, Ben 9mm, Nout, Weser

Le Diable Au Corps /// Multicrew Tour : Ixindamix, Shmirlap, Ben 9mm, Nout, Weser

Dijon 21000

Du 15/02/2025 au 16/02/2025

La Vapeur convie le label culte Le Diable Au Corps et propose une expérience unique réunissant artistes et sound systems pionniers du mouvement free party. Un mix ingénieux de sons old school et modernes pour fusionner les générations. Avec Ixindamix, Shmirlap, Ben 9mm, Nout et Weser.

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Dijon 21000

Le 27/03/2025

Bien connue, l’admiration réciproque que se vouaient Brahms et Dvorák se voit ici célébrée par des interprètes exceptionnels, à la croisée des générations. Au menu de cette première des deux soirées à ne pas manquer: l’un des plus illustres Concertos du répertoire et l’une des pages les plus profondes du maître tchèque. Composé vingt-deux ans après le premier, le Concerto pour piano n°2 de Brahms (1881) connut dès sa création – par le compositeur au clavier – un immense succès. Son climat légendaire s’exprime dès le noble appel de cors du premier mouvement, qui déplie sa beauté épique. Féroce et orageux, le Scherzo précède un Andante beaucoup plus contemplatif, dans lequel le violoncelle, quasi-soliste, rivalise avec le piano. Puis vient le Finale enjoué, aux couleurs hongroises, dont l’énergie couronne un monument du répertoire pianistique. En regard, la Symphonie n°7 de Dvorák (1885) est certainement sa partition la plus « allemande», dans laquelle s’entend l’influence de Brahms et de Wagner. Malgré son début grave et austère, l’Allegro initial libère vite sa fougue, enchaînant sur un Adagio gorgé de piété et de lyrisme. Bien que d’énigmatiques reflets wagnériens le colorent[...]

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Musique, Competition sportive

Dijon 21000

Le 27/03/2025

Bien connue, l’admiration réciproque que se vouaient Brahms et Dvorák se voit ici célébrée par des interprètes exceptionnels, à la croisée des générations. Au menu de cette première des deux soirées à ne pas manquer: l’un des plus illustres Concertos du répertoire et l’une des pages les plus profondes du maître tchèque. Composé vingt-deux ans après le premier, le Concerto pour piano n°2 de Brahms (1881) connut dès sa création – par le compositeur au clavier – un immense succès. Son climat légendaire s’exprime dès le noble appel de cors du premier mouvement, qui déplie sa beauté épique. Féroce et orageux, le Scherzo précède un Andante beaucoup plus contemplatif, dans lequel le violoncelle, quasi-soliste, rivalise avec le piano. Puis vient le Finale enjoué, aux couleurs hongroises, dont l’énergie couronne un monument du répertoire pianistique. En regard, la Symphonie n°7 de Dvorák (1885) est certainement sa partition la plus « allemande», dans laquelle s’entend l’influence de Brahms et de Wagner. Malgré son début grave et austère, l’Allegro initial libère vite sa fougue, enchaînant sur un Adagio gorgé de piété et de lyrisme. Bien que d’énigmatiques reflets wagnériens le colorent[...]